The Prison Experiment : chronique de Booquinovores

« J’avais adoré les précédents écrits d’Eric Costa. Vous pouvez d’ailleurs retrouver ma chronique sur les deux premiers tome de la saga Aztèques en cliquant ici. Ainsi que celle du tome 3 ici. Et cette nouvelle saga de l’auteur m’a vraiment convaincu avec ce premier tome tout en mystère et en action !

On rentre directement dans le vif du sujet dès le début du roman. On suit un groupe de mercenaires qui vient de rentrer dans un bâtiment pour aller chercher quelque chose. Au départ, l’auteur ne nous explique pas pourquoi ils sont là, ni où ils sont. Dès le début, je me suis pris ce suspense en pleine figure. Je n’avais qu’une seule envie c’est comprendre. Puis l’auteur distille au fur à mesure des petites informations pour renforcer encore ce suspense. Quand on apprend ce que les mercenaires font là, on sait déjà que l’action va être à son paroxysme notamment à cause des innombrables dangers !

J’ai beaucoup aimé le fait que les chapitres abordent différents points de vue. On peut donc en apprendre plus sur l’Oeuvre et les personnages. Cela permet également d’avoir encore plus de suspense. On suit des gens dans l’Oeuvre, en dehors. En forcément, les chapitres se terminent sur des suspenses de malade !!!!

Quant aux personnages, j’ai beaucoup aimé suivre Elena. La seule femme au milieu de tous ses hommes. Elle est forte et elle a du courage. C’est son point de vue qu’on suit en particulier. On n’a pas accès aux autres pensées des mercenaires. Les personnages sont vraiment bien travaillé. Ils sont également des gros piégés ( comme l’Oeuvre), on ne sait jamais réellement si ils sont gentils, méchants. Mais avec Elena, j’ai vraiment réussi à m’attacher à elle et j’ai adoré la suivre.

Le roman n’est qu’une succession d’action et de rebondissements. On ne s’ennuie pas et on cherche vraiment à comprendre tout ça. Le style d’écriture de l’auteur nous happe et les pages défilent rapidement. Finalement, on comprend que cette histoire est bien plus compliquée que ce qu’on pouvons imaginer au début. Et j’ai bien aimé que l’auteur traite la psychologie de l’Homme en milieu hostile. Ce prison expérimentale est pleine de danger que ce soit au niveau technologique mais également au niveau humain ! Cela ne lasse donc aucun répit aux personnages mais surtout aux lecteurs !

La fin est vraiment bien mais vraiment abrupte. Mon petit cœur a eut mal de ne pas en savoir plus. Forcement, je n’ai qu’une envie, me plonger dans le tome 2 ! »

Un grand merci à Manon du site Bouquinovorespour cette chronique !

Résumé :
« Zone 51, désert du Nevada.
Un dôme immense, à la peau cuivrée, se dresse tel un monstre sous les étoiles.
Son nom : « L’Œuvre », prison expérimentale secrète dotée d’une intelligence artificielle.
Nul ne sait ce que recèle l’édifice depuis que la CIA en a perdu le contrôle. Que sont devenus les 5300 détenus, livrés à eux-mêmes après sept ans d’abandon ?
Un commando de douze hommes et une femme pénètre en secret dans ce labyrinthe mortel.
Leur mission : retrouver Dédale, son architecte, à n’importe quel prix.
Elena, hackeuse surdouée, compte bien percer les mystères de l’Œuvre. Elle ignore que cette mission l’emportera au-delà des illusions, face à ses peurs les plus folles, dans les tréfonds de l’âme humaine.
Son génie peut les sauver… ou les tuer.
Jusqu’où l’homme peut-il aller pour survivre ? »

PLONGER AU CŒUR DE L’ŒUVRE

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