The Prison Experiment T1

Par l’auteur d’Aztèques : Harem, roman lauréat du Salon du Livre Paris 2017 par le jury Amazon KDP :

« Zone 51, désert du Nevada.
Un dôme immense, à la peau cuivrée, se dresse tel un monstre sous les étoiles.
Son nom : « L’Œuvre », prison expérimentale secrète dotée d’une intelligence artificielle.
Nul ne sait ce que recèle l’édifice depuis que la CIA en a perdu le contrôle. Que sont devenus les 5300 détenus, livrés à eux-mêmes après sept ans d’abandon ?
Un commando de douze hommes et une femme pénètre en secret dans ce labyrinthe mortel.
Leur mission : retrouver Dédale, son architecte, à n’importe quel prix.
Elena, hackeuse surdouée, compte bien percer les mystères de l’Œuvre. Elle ignore que cette mission l’emportera au-delà des illusions, face à ses peurs les plus folles, dans les tréfonds de l’âme humaine.
Son génie peut les sauver… ou les tuer.
Jusqu’où l’homme peut-il aller pour survivre ? »

Extrait :
« Cette prison est un tel enchevêtrement de salles, de tunnels, de méandres tortueux et de voies sans issue, que personne, pas même son architecte, ne peut s’en échapper. Elle est bâtie de manière à ce que l’on se perde avant de retrouver la paroi extérieure. Il y a bien une porte de sortie, oui… mais elle est enfouie derrière tellement de murs, de parois, de végétation, de peintures en trompe-l’œil et autres hologrammes, qu’il est impossible de la trouver. En outre, l’Œuvre n’est pas un simple bâtiment. C’est une entité organique. Un être vivant ! Une fraction de paroi découverte à un moment peut être dissimulée l’instant d’après… un tunnel creusé peut être rebouché… un trou peut s’ouvrir dans le sol… »

Chroniques et commentaires :
— Marie-Nel Lit : Quel roman, quelle histoire, quelle addiction ! Et surtout quelle imagination débordante ! Wahou ! J’ai été scotchée sur place, histoire très diversifiée, très dense, les personnages sont nombreux mais tous bien travaillés et marquants pour qu’on ne les oublie pas !
— Sarah Auger : Ce récit est foisonnant. Il y a de l’action à chaque instant, de la diversité, du danger, du suspense. Il vous promet de bons moments de lecture en apnée. On plonge au cœur de la bestialité humaine, dans un monde ou rien d’autre ne compte que la survie, et où la loi du plus fort règne en maître.
— Lætitia, Une Page de Paradis : « J’ai vraiment eu la sensation d’être dans l’Œuvre, et j’ai ri, pleuré et eu peur en même temps que tous les personnages ! J’ai eu envie de mettre des baffes à Basileus (désolée !) et embrasser Lombardi ! Bref, je me suis totalement plongée dans l’histoire et j’ai adoré suivre les aventures des différents personnages, même si certains passages font froid dans le dos ! Je ne peux que vous recommander cette lecture. »

PLONGER AU CŒUR DE L’ŒUVRE