« Bouleversante, palpitante, imaginative, une quête effrénée qui ne peut que nous enthousiasmer !
Curieuse, j’ai eu envie de découvrir l’univers d’Éric (qui me tentait depuis longtemps, mais comme j’ai toujours 15000 livres à lire…) ainsi que cette dystopie (à mon sens, puisqu’on a un monde dans le monde, qui n’a plus rien d’utopique !). Ce récit, palpitant de la première ligne à la dernière, nous plonge dans un univers singulier, nous met face à des choix extraordinaires, à des personnages fascinants, nous pose mille questions sur notre Humanité, sur ce qu’est réellement un être humain, face à la bête qui sommeille en nous. Que ferions-nous dans un tel « monde » ?
Le récit n’est pas chronologique. Il commence in medias res et oscille entre les flashbacks, les points de vue narratifs variés (et donc les informations incomplètes selon le narrateur), l’intrigue qui se poursuit et nous happe invariablement. Une aventure folle !
Une écriture très belle, nuancée, et souvent poétique !
Un roman difficile à poser, dont les 542 pages défilent à une vitesse bien trop importante !
Bravo Éric pour ce roman-cathédrale dévoré en deux jours 1/2 ! »
Un grand merci à Marie-Hélène Fasquel, auteure, conférencière et professeure de littérature, pour cette chronique qui me va droit au cœur !
Résumé :
« Zone 51, désert du Nevada.
Un dôme immense, à la peau cuivrée, se dresse tel un monstre sous les étoiles.
Son nom : « L’Œuvre », prison expérimentale secrète dotée d’une intelligence artificielle.
Nul ne sait ce que recèle l’édifice depuis que la CIA en a perdu le contrôle. Que sont devenus les 5300 détenus, livrés à eux-mêmes après sept ans d’abandon ?
Un commando de douze hommes et une femme pénètre en secret dans ce labyrinthe mortel.
Leur mission : retrouver Dédale, son architecte, à n’importe quel prix.
Elena, hackeuse surdouée, compte bien percer les mystères de l’Œuvre. Elle ignore que cette mission l’emportera au-delà des illusions, face à ses peurs les plus folles, dans les tréfonds de l’âme humaine.
Son génie peut les sauver… ou les tuer.
Jusqu’où l’homme peut-il aller pour survivre ? »