« Coucou à tous, je partage avec vous mon ressenti sur le dernier roman d’Eric Costa, écrit à quatre mains avec Loranek Nikdo : « À qui pensez-vous quand vous faites l’amour ». Sortie aujourd’hui à petit prix.
De nature curieuse, le synopsis et un extrait du premier chapitre m’ont mis à l’eau bouche et m’ont donné envie de le découvrir. Nous sommes très loin des premiers écrits de l’auteur, toutefois ce nouveau registre lui va très bien. Kostas, 37 ans, s’ennuie dans sa relation amoureuse. Il aime Marie, mais, (car il y a toujours un mais) il désire plus que ce qu’elle peut lui offrir. Il ne vibre plus sur la corde de l’amour et il cherchera ailleurs le piment que sa compagne ne met pas dans leur lit.
Ce nouveau roman est bien écrit, saupoudré d’humour, les personnages sont attachants, l’auteur joue avec les sentiments et nous fait explorer une facette de Kostas que lui-même ignorait. Âmes sensibles s’abstenir, car dans sa découverte d’un renouveau sexuel, Kostas expérimentera de nouvelles choses. Il y a bien sûr des scènes érotiques, mais il y a avant tout le cheminement d’un homme qui, pour une quête perdue d’avance, mettra sa vie sens dessus dessous et détruira tout. Kostas affrontera la solitude et devra se retrouver afin de redonner un sens à sa vie. Faut-il accepter de tout perdre afin de regretter ce que la vie offrait avant ?
Un nouveau style que j’ai beaucoup aimé, un homme attachant qui se métamorphose pour le pire et le meilleur, une morale qui permet à chacun de réfléchir sur sa propre vie. Devons-nous nous contenter de ce que nous avons ou vouloir plus afin de trouver le bonheur ? Je vous invite à le découvrir afin de suivre les mésaventures amoureuses de Kostas.«
Merci Nathalie Brunal pour ton soutien et ta chronique !
Découvrez dès à présent notre nouveau roman déjanté !
« Kostas Niemand, négociant en vins charmeur et insouciant, partage depuis trois ans la vie de Marie, beauté froide et altière qui ne semble plus attirée par lui. Il faut avouer, d’ailleurs, qu’il n’y a jamais vraiment eu de feu d’artifice entre eux. Aussi, lorsqu’Agathe, la plantureuse secrétaire qui fait fantasmer toute la boîte commence à lui faire de l’oeil, Koko doute plus que jamais.
Il est loin d’imaginer le tourbillon endiablé qui pourrait l’emporter… »
Note des auteurs :
Nous tenons à prévenir celles et ceux qui ont connu Eric Costa à travers The Prison Experiment ou Aztèques que ce roman écrit à quatre mains est différent de ce à quoi ils sont habitués.
Nous avons choisi d’explorer le registre des relations sous un angle original, de manière légère et, nous l’espérons, avec humour.
Nous tenons toutefois à vous prévenir que certaines scènes sont susceptibles de choquer un public non averti.
Nous vous souhaitons bonne lecture.