« Au fil des pages, on suit son parcours tantôt présent, aux cotés de Jackson, tantôt passé, se remémorant ses acolytes. On aura quelque visu sur ce qui s’est passé, sur ce qui pourrait se passer. C’est toujours avec impatience que l’on tourne la page pour savoir ce que devient tel ou tel personnage car, bon gré mal gré, on s’y attache ! Tous humains, ils nous amènent à travers des mots, parfois mêmes à travers de simples gestes, à voir et comprendre ce qu’ils sont, ce que nous sommes. Car nous voyons bien, une fois entré dans le récit, que ces mercenaires nous ressemblent d’une façon ou d’une autre. »
Un immense merci à Véronique pour cette superbe chronique !
Bon alors si vous n’avez pas lu premier tome, laissez passer la crise de culpabilité et la honte qui vous ronge, allez le lire d’urgence, et revenez par ici 😉
Pour les autres, prenez le temps, il vaut le détour et suit parfaitement la lignée de son grand frère.
Un petit résumé, parce qu’il faut se remettre un peu dans le bain :
« Zone 51, désert du Nevada.
Un dôme immense, à la peau cuivrée, se dresse tel un monstre sous les étoiles.
Son nom : « L’Œuvre », prison expérimentale secrète dotée d’une intelligence artificielle.
Nul ne sait ce que recèle l’édifice depuis que la CIA en a perdu le contrôle. Que sont devenus les 5300 détenus, livrés à eux-mêmes après sept ans d’abandon ?
Un commando de douze hommes et une femme pénètre en secret dans ce labyrinthe mortel.
Leur mission : retrouver Dédale, son architecte, à…
Voir l’article original 1 014 mots de plus