The Prison Experiment : chronique coup de cœur de Chabouquine !

 » Pour commencer, je tiens à remercier grandement Eric Costa de m’avoir permis de lire son merveilleux roman. J’ai passé un moment juste incroyable avec ses personnages et son univers des plus prenant et captivant.  

Nous débutons le roman tout de suite dans l’action, débutant avec Elena et les autres mercenaires de la CdTA, qui se rendent auprès de l’œuvre pour l’infiltrer. L’ambiance est lourde de tensions et on se surprend à retenir notre souffle, jusqu’à ce qu’ils soient en sécurité à l’intérieur du bâtiment. Mais sont-ils vraiment en sécurité dans ce bâtiment étrange ? Par la suite, on se retrouve avec Agellos, un prisonnier, qui voit le groupe arriver dans la prison. Il ne sait pas s’ils sont des alliés ou des ennemis, donc il se cache et profite d’une attaque contre les nouveaux arrivant pour s’enfuir. Le truc, c’est qu’il s’enfuit avec un livre. Et la question est, quel importance a ce livre ? On rencontre ensuite Jackson, un explorateur, prisonnier de Cyrus, un faucheur. Ce dernier veut la carte de Jackson et s’amuser un peu avec lui, tandis que le second souhaite s’enfuir. On passe ensuite avec Robert, un surveillant de l’œuvre, qui est chargé de veiller à la sécurité extérieure. Que personnes ne rentre ou ne sortent de l’œuvre. On va par la suite retrouver touts ces personnages aux fils des chapitres. 

Je dois dire que j’ai tout de suite accrocher au style de l’auteur, qui a une plume prenante et fluide à souhait. J’avais du mal à lâcher le roman, même si j’avais peur d’abîmer ce dernier a chaque ouverture. Il faut dire qu’il est vraiment épais, 4 cm d’épaisseur, et magnifique, pour moi, il était impensable de casser la tranche. Enfin bref, je m’égare. J’avoue avoir été étonnée de découvrir que l’œuvre est régis par plusieurs castes de différentes catégories. Les explorateurs, les faucheurs et autres, je vous laisse la surprise de ces dernières. 

Que dire de plus, tout le long du roman, on sent que l’auteur à travaillé ses recherches. Il ne lésine pas en jargon militaire ou autres, sans pourtant en faire trop. Certains mots ou code sont peut-être incompréhensibles pour des personnes lambda comme moi, mais il en use avec parcimonie, m’étant juste ce qu’il faut pour donner une touche de réel à son roman. 

Parlons à présent des personnages, j’ai trouvé qu’il était assez difficile de se faire une vraie idée d’eux, au départ. Il faut dire que nous voguons avec pas mal de personnes et que les mercenaires se donne pas mal de surnom. Ce qui fait que j’ai eu du mal à vraiment les identifier à certain moment, mais ça, c’était avant de découvrir la galerie des personnages à la fin du roman. Parlons d’Elena qui est la seule femme du groupe, elle n’est pas habitué au combat, ni au maniement des armes, mais c’est une vraie hackeuse et son talent va être d’une grande aide, qu’importe ce que pensent les autres membres du groupe. Basileus est celui que j’ai le moins apprécié, c’est une vraie enflure qui profite de son statut de chef pour agir comme il veut, sous prétexte qu’il est le chef, Lombardi est un autre personnage que j’ai beaucoup apprécié, homme fidèle qui se trouve être un grand soutient à notre héroïne, même s’il semble être un peu manipulateur. Jackson est celui que j’ai le plus apprécié après Elena, il est courageux, intelligent et surtout un des rares à avoir de l’empathie pour les autres. 

Pour ce qui est de l’auteur, c’est la première fois que je lis un de ses livres. Comme dit plus haut, il a une belle plume, fluide et légère, malgré son utilisation de jargon militaire. Cependant, j’avoue l’avoir détesté par moment, quand il fait mourir certains personnages, je sais que c’est utile, obligatoire même, mais mince quoi… Sans parler de cette fin totalement cruelle. 

En conclusion : Un vrai coup de coeur pour ce premier volume juste exceptionnel. C’est un roman prenant, haletant et captivant du début a la fin, on n’a pas le temps de s’ennuyer, l’auteur ne nous laissant aucune longueur. E.Costa à une belle plume, qui rend son livre facile à lire. Les personnages sont, pour la plupart, attachant et l’histoire bien mener et ficeler. En bref, si vous aimez les romans d’action, de labyrinthe et de commando militaire, ce roman est pour vous.

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Un grand merci à Chabouquine pour cette chronique. Si tout va bien, le T2, qui devrait clôturer cette histoire, sortira en mai 2019.

 

Résumé :
« Zone 51, désert du Nevada.
Un dôme immense, à la peau cuivrée, se dresse tel un monstre sous les étoiles.
Son nom : « L’Œuvre », prison expérimentale secrète dotée d’une intelligence artificielle.
Nul ne sait ce que recèle l’édifice depuis que la CIA en a perdu le contrôle. Que sont devenus les 5300 détenus, livrés à eux-mêmes après sept ans d’abandon ?
Un commando de douze hommes et une femme pénètre en secret dans ce labyrinthe mortel.
Leur mission : retrouver Dédale, son architecte, à n’importe quel prix.
Elena, hackeuse surdouée, compte bien percer les mystères de l’Œuvre. Elle ignore que cette mission l’emportera au-delà des illusions, face à ses peurs les plus folles, dans les tréfonds de l’âme humaine.
Son génie peut les sauver… ou les tuer.
Jusqu’où l’homme peut-il aller pour survivre ? »

PLONGER AU CŒUR DE L’ŒUVRE

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