Mes recherches pour la saga Le Cinquième Monde continuent (Tome 1 : été 2015). Au plus je découvre cette civilisation, au plus je la trouve riche et intéressante. Architecture, médecine, astronomie, arts… nombreux étaient les domaines où ils excellaient.
La civilisation Aztèque baignait dans la religion et mon héroïne, de part la volonté de son père, était destinée à la prêtrise. Aussi, il est important que j’en saisisse les principales caractéristiques pour ne pas faire de contresens historique.
Les temples :
Les temples (cals) disposaient de plafonds élevées et richement sculptés. Pour préserver le caractère sacré des dieux, ils étaient assez sombres et mystérieux – une caractéristique qui a été renforcée par les tourbillons de fumée de copal (encens), et la combustion des offrandes. Ils contenant des images et des reliques des dieux, souvent parées de bijoux, mais enveloppées sous des vêtements rituels et autres voiles sacrés, et cachés derrière des rideaux ornés de plumes et de clochettes. Fleurs et offrandes (y compris une grande quantité de sang) couvraient généralement les sols et les murs à proximité de ces images. Selon certain témoignages de conquistadors, l’odeur était insupportable – celle de l’Enfer même. Chaque surmontait un piédestal et occupait son propre sanctuaire. Les grands temples contenaient également des chambres filiales pouvant accueillir des divinités secondaires.
Dans le centre cérémonial de Tenochtitlan, le temple le plus important était le Grand Temple, une double pyramide surmontée de deux temples. L’un était consacré à Huitzilopochtli (ce temple a été appelé Coatepetl : serpent montagne), et l’autre temple était consacrée à Tlaloc, le Dieu de la Pluie. Ci-dessous la Tlatoani étaient les grands prêtres de ces deux temples.
Les deux grands prêtres ont été appelés par le titre Quetzalcoatl – le grand prêtre de Huitzilopochtli était Quetzalcoatl Totec Tlamacazqui et le grand prêtre de Tlaloc était Quetzalcoatl Tlaloc Tlamacazqui. D’autres temples importants occupaient les quatre autres divisions de la ville. Par exemple le temple appelé Yopico dans Moyotlan était consacré à Xipe Totec.
En outre, tous les calpullis disposaient de temples spéciaux dédiés à leur divinité patronne.
Conclusion :
Il est intéressant de voir comment était organisée la hiérarchie sacerdotale Aztèque. Il s’agissait d’une voix parallèle à la voie des armes, qui offrait à ses protagonistes autant de pouvoir et de prestige qu’aux guerriers les plus courageux. Mon héroïne étant destinée à la prêtresse, il est possible qu’elle cherche à grimper au sein de cette hiérarchie pour assouvir sa vengeance.
Cet article présente une partie de mes recherches sur le monde aztèque dans le cadre d’une série d’aventures intitulée Aztèques.
Découvrez-la en cliquant ci-dessous :
Mexique, 1515.
Ameyal a treize ans. Elle est fille de chef. Lorsque des guerriers envahissent son village natal, elle jure de tout faire pour les arrêter.
Ses aventures l’emporteront au cœur du monde Aztèque, dans un univers cruel et inconnu : le harem d’un mystérieux Maître.
Va-t-elle surmonter les épreuves qui la menacent et déjouer les intrigues des concubines ?
Parviendra-t-elle à progresser sur le chemin de son ambition et de sa vengeance ?
Toujours un régal de lire le résultats de tes recherches. J’attends ton livre avec impatience 🙂
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Merci Elisa j’espère que tout avance bien de ton côté, j’ai hâte de lire tes oeuvres également ! Bonnes fêtes de fin d’année !
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