Je remercie Didier Betmalle, chroniqueur de renom et de qualité, de m’avoir fait la joie et l’honneur d’accepter de chroniquer le premier tome de la saga Aztèques, qu’il a aimé et dont il va poursuivre, vraisemblablement, la lecture.
Didier anime un site intitulé Clapin Cassé où vous pourrez trouver ce billet.
J’en profite pour saluer une nouvelle fois toutes les chroniqueuses et tous les chroniqueurs qui aident les auteurs Indés (et les autres bien sûr) à faire découvrir leur travail.
Bonne lecture à tous !
« Un plaisir de lecture complet : une écriture soignée et très visuelle, où l’action et l’intrigue dominent sans pour autant sacrifier à l’expression des émotions et des sentiments.
L’art d’Eric Costa est de réussir une reconstitution de la vie de cour à l’apogée de l’empire aztèque sous le règne d’Ahuitzolt, tout en nous faisant vivre, au plus près de son héroïne, les aventures haletantes d’une femme ambitieuse – et follement courageuse.
Rebondissements en cascade et contrastes d’atmosphères entraînent le lecteur dans une course d’obstacles, lui faisant partager les épreuves extraordinaires que traverse la belle Ameyal aux yeux de jade.
Galvanisée par la conviction que son destin se réalisera, fidèle à ses prémonitions, elle relève défi sur défi. Elle paye parfois très cher son entêtement et sa pugnacité ; c’est l’occasion pour l’auteur de déployer tout son talent dans la peinture de situations extrêmes.
Il excelle à traduire la confusion qui s’empare de l’esprit d’un être soumis aux privations et aux tourments de toutes sortes.
Mais de même qu’il est capable d’évoquer une scène de lapidation de façon très réaliste et cruelle, il excelle aussi à peindre des tableaux paisibles et idylliques.
Il y a dans son style coloré, soucieux de la finesse des détails, une façon d’enjoliver le texte qui se rapproche de l’art de l’enluminure.
On est immédiatement séduit par l’originalité, la richesse et la précision de l’univers évoqué et par le caractère conquérant de son héroïne.
Le récit de ses aventures comprend 3 volumes. Harem est le premier de la série, autrement dit, c’est la promesse d’heureuses et frénétiques heures de lecture… »
Aztèques : Harem, roman lauréat du Salon du Livre Paris 2017 par le jury Amazon KDP
« Huaxca, dans les temps turbulents précédant la chute du légendaire empire aztèque,
Fille de chef de village porteuse de grandes espérances, Ameyal vit une existence idyllique brusquement perturbée par une violente invasion. Capturée pour être vendue comme esclave dans une cité aztèque, elle se retrouve prisonnière d’un harem régi par la peur, l’oppression et les intrigues, dans lequel l’attend une fin déchirante et inéluctable. Poussée par sa soif de justice et l’amour qu’elle porte à son peuple, la fille de l’Aigle devra déjouer les pièges tendus sur sa route et affronter ses plus grandes peurs.
Ses tentatives désespérées lui permettront-elles de sauver ce qui lui tient le plus à cœur ?
Laissez-vous emporter dans un grand voyage, un ailleurs et un autrefois caché au sein d’une civilisation aussi fascinante qu’effrayante. »