Les chroniques de Lee Ham nous offrent une nouvelle analyse de La Croisée des Mondes que vous pouvez découvrir ci-dessous. Un grand merci à toi, Lee, et au plaisir de te lire ou d’échanger avec toi 🙂
Quatrième de couverture
Teotitlan 1517. Ameyal fille de chef téméraire, fière et impulsive, est enfin admise comme concubine. Le rêve qui se cache derrière son regard de jade: s’évader du harem d’Ahuizotl, le monstre aquatique. Mais, pour y parvenir, elle devra payer le prix.
D’un côté, la liberté et la vie. De l’autre, la mort ou la prison. Entre les deux, un parterre de fleurs sublimes et vénéneuses. Des rivales et ennemies qui ne lui laissent aucun répit. Un Maître qui la poursuit. Une alliée folle de désir. Une déesse qui l’a choisie pour servir d’obscurs desseins. Comment s’échapper de cette cage dorée?
Mon avis
Une cérémonie qui nomme les nouvelles concubines. Tel est le début de ce roman. Une cérémonie modeste qui permet à des femmes d’évoluer au sein du harem. Un harem qui ressemble à tous les autres à travers le monde. Où la vie, les amis, les…
Voir l’article original 210 mots de plus