Je remercie Martine, des Mille et une pages de LM, pour cette nouvelle chronique sur les aventures d’Ameyal !

« Le commentaire de Martine :
Je suis contente de retrouver Ameyal, sa formation, pour devenir une concubine pour le Maître du harem arrive au zénith afin de s’offrir à son maître Ahuizotl. Après cette année de captivité, cette jeune fille intrépide étouffe au sein de ce palais. De plus, que le maître, lui a donné un nouveau nom Regard de Jade, mais pour elle, elle est toujours Ameyal la fille d’un chef qui veut être libre et profiter de la vie. Elle ne veut pas passer sa vie au sein de ces femmes, concubines qui sont toutes des rivales et/ou des ennemies, chacune veut être la seule concubine pour le maître dont une vraie animosité va s’installer entre Regard de Jade, surtout une des concubines va nourrir une jalousie maladive envers Ameyal. 
En nous retrouvant au cœur du harem, dans ses couloirs, ses appartements et ses jardins, on baigne totalement dans le monde des concubines. Un milieu qui nous permet de vivre des intrigues compliquées, des dénouements très inattendus, des échanges très corsés dans un environnement de femmes avec envie, jalousie et haine. Tout ceci entouré de la beauté de la nature avec la végétation, les fleurs, les fontaines, etc. 
Éric Costa nous offre encore une suite de l’histoire d’Ameyal qui ne peut laisser le lecteur sans question et attente envers la vie de cette jeune fille. Dans une intrigue qui m’a vraiment plu, puisqu’il dépeint très bien l’effet de huis clos qui favorise à démontrer certains côtés sombres de l’être humain. Les romans de l’auteur son historique, mais aussi très aventureux puisque nous voyageons au sein d’un peuple qui n’est pas celui que nous connaissons, donc un vrai dépaysement s’opère à chaque tome de la série Aztèques. 
Une bonne lecture que je vous recommande en prenant soin de lire les tomes précédents avant celui-ci. »