Mes recherches concernant la saga Aztèques continuent (Tome 1 : été 2015). Au plus je découvre cette civilisation, au plus je la trouve passionnante. Architecture, médecine, astronomie, arts… nombreux étaient les domaines où les Aztèques excellaient.

Le tecuhtli (noble Aztèque)

Le noble profitait de la distribution du tribu (impôt payé à Mexico par les cités et pays indexés par les aztèques), ne payait pas d’impôt, et des terres lui étaient allouées. Ils les faisait fructifier par des paysans, des maceualtin (peuple)ou des tlatlacotin (esclaves).

Il existait une noblesse héréditaire, mais le principe de désignation jouait pour l’ensemble des dignitaires. Ainsi, le souverain pouvait récompenser des hommes du peuple en les nommant tecuhtli. Inversement, si certains fils ne se montraient pas à la hauteur de leur père, ils perdaient leurs privilèges.

Il était possible de perdre son statut de noble en cas de comportement jugé pas à la hauteur !

Le noble devait se montrer digne de sa position, montrer l’exemple, et en cas de faute il était plus sévèrement puni que le simple citoyen.
Le fils d’un tecuhtli allait obligatoirement au calmecac.

Pour faire savoir leur état, les nobles pouvaient revêtir les plus belles parures de plumes, les plus belles fourrures, les vêtements de coton les plus délicats, des bijoux, pendentifs etc.

Cet article présente une partie de mes recherches sur le monde aztèque dans le cadre d’une série d’aventures intitulée Aztèques.

Découvrez-la en cliquant ci-dessous :

Mexique, 1515.
Ameyal a treize ans. Elle est fille de chef. Lorsque des guerriers  envahissent son village natal, elle jure de tout faire pour les arrêter.

Ses aventures l’emporteront au cœur du monde Aztèque, dans un univers cruel et inconnu : le harem d’un mystérieux Maître.
Va-t-elle surmonter les épreuves qui la menacent et déjouer les intrigues des concubines ?

 Parviendra-t-elle à progresser sur le chemin de son ambition et de sa vengeance ?