« Bonjour les mordus,

-Qui êtes-vous ?🕵️♀️
Un grand rêveur qui passe plus de temps la tête dans les nuages que dans la réalité.
Oui, ingénieur dans l’aviation à mes heures perdues (je vous avais dit que j’ai la tête dans les nuages !)
Enfant, j’écrivais un journal où j’imaginais m’adresser à un confident, genre le Kitty d’Anne Frank. Ensuite j’ai lu un recueil de nouvelles (Contes de terreur, de Robert Bloch), et ça a été une révélation : il fallait que je m’y mette. On a commencé à imaginer des histoires avec mon ami d’enfance Jean et pondu le scénario d’une nouvelle devenue par la suite la trilogie « The Prison Experiment ». Le but était de surprendre le lecteur à la fin.
Après l’époque du lycée et des nouvelles, il y a eu l’entrée dans la vie « active » et j’ai mis l’écriture de côté (tout en la gardant dans un coin de ma tête pour plus tard). Il me fallait vivre, faire des expériences. Le retour à l’écriture s’est opéré après une rupture amoureuse où une amie m’a dit que je paraissais complètement vide ! Ensuite, j’ai effectué une formation de trois ans en compagnie d’un scénariste et ami pour apprendre à raconter au mieux les histoires. Il y a ensuite eu de la lecture, beaucoup de lecture, de la pratique et de l’expérimentation…
Je suis admiratif de beaucoup d’auteurs célèbres : Hugo est mon maître incontesté, il y a aussi Dumas, St Exupéry; King, Tolkien… L’attrape cœur de Salinger, le Comte de Monte Cristo, Les Misérables, Le Seigneur des Anneaux m’ont façonné.
-Votre livre, et/ou auteur préféré ?
Bilbo le hobbit
Je travaille beaucoup sur l’immersion du lecteur à travers les 5 sens. J’essaie d’écrire des histoires où l’on ne s’ennuie jamais, des pages-turner aux rebondissements multiples et au rythme soutenu. Il est important pour moi que chacune de mes histoires porte un message plus ou moins caché, et permette, au-delà du loisir, d’apprendre toujours quelque chose.
-Où écrivez-vous ? A quel moment de la journée ? Combien de temps consacrez-vous à l’écriture ? ⏳
Dans mon canapé allongé avec une belle vue (que je ne regarde presque jamais !). J’écris le matin après le petit déjeuner jusqu’à 14h30 ou même 16h. Ensuite, on déjeune (et oui, ma femme est espagnole…) Je peux écrire huit ou dix heures d’affilée si j’en ai la possibilité. L’après-midi, je fais des recherches, de l’administratif, du sport ou je prends l’air avec ma famille.
-Travaillez-vous sur ordinateur ou sur papier ? 💻
Ordinateur. Je suis fils de médecin, j’écris trop mal (je sais, cette excuse est bidon).
Oui, sur mon téléphone ou sur le texte que je suis en train d’écrire.
Aucune. Je n’ai ni besoin d’ambiance, ni de musique. Je pars directement dans l’imaginaire, et le temps n’a plus court. Un vrai autiste !
Parfois, de la musique classique, mais généralement je n’en ai pas besoin. J’ai suffisamment de choses en tête.
Un peu des deux. J’imagine une fin, je construis une structure en fonction, puis je commence l’écriture en me laissant porter. Cela me donne un cadre qui souvent évolue.
Je viens de sortir « À qui pensez-vous quand vous faites l’amour ? » : une romance adulte contemporaine où l’on suit les frasques d’un homme frustré qui se laisse dériver dans le mensonge et l’infidélité.
-Participez-vous à des salons ? Si oui, lesquels ? 🗣👥
Oui, je me rends chaque année au Salon Livres Paris, et je compte participer aux salons d’auteurs indépendants sur Marseille à compter de 2021.
La trilogie « The Prison Experiment » : thriller/action/anticipation, la saga « Aztèques » : romans historiques/fantasy (3 tomes pour l’instant), et Réalités Invisibles : recueil de nouvelles fantastiques et étranges
Découvrez dès à présent notre nouveau roman déjanté !
« Kostas Niemand, négociant en vins charmeur et insouciant, partage depuis trois ans la vie de Marie, beauté froide et altière qui ne semble plus attirée par lui. Il faut avouer, d’ailleurs, qu’il n’y a jamais vraiment eu de feu d’artifice entre eux. Aussi, lorsqu’Agathe, la plantureuse secrétaire qui fait fantasmer toute la boîte commence à lui faire de l’oeil, Koko doute plus que jamais.
Il est loin d’imaginer le tourbillon endiablé qui pourrait l’emporter… »
Note des auteurs :
Nous tenons à prévenir celles et ceux qui ont connu Eric Costa à travers The Prison Experiment ou Aztèques que ce roman écrit à quatre mains est différent de ce à quoi ils sont habitués.
Nous avons choisi d’explorer le registre des relations sous un angle original, de manière légère et, nous l’espérons, avec humour.
Nous tenons toutefois à vous prévenir que certaines scènes sont susceptibles de choquer un public non averti.
Nous vous souhaitons bonne lecture.