Je remercie Jessica, du site Madame Ratou bouquine, pour cette très belle chronique de La Croisée des Mondes, que je vous laisse découvrir ici.
» Samedi, lorsque je suis allée jeter un œil à ma boîte aux lettres, je suis tombée sur un petit colis qui contenait ce livre. Le lendemain matin, il était terminé et j’en refermais la dernière page. Rapide, surtout quand on travaille le week-end ! Vous l’avez certainement compris, mais j’ai adoré ma lecture. Pourquoi ? Aujourd’hui, je vous partage cette chronique pour tout vous dire.
Avant toute chose, il faut savoir que ce tome III peut se lire comme un unitaire. C’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire d’avoir les volumes précédents en sa possession pour comprendre l’histoire. J’en ai donc profité pour découvrir la saga de cette manière : commencer par le dernier bouquin sorti. Et croyez-moi, je n’ai pas été déçue ! Dans Aztèques : la croisée des mondes, nous (re)découvrons Ameyal, une jeune femme qui vient d’être nommée concubine d’Ahuizotl, le Maître du harem au sein duquel elle se trouve. Elle a passé l’épreuve finale avec brio, il lui a donné un nouveau nom, elle n’est plus esclave : bref, elle se rapproche un peu plus de son but. Seulement, les dangers qui planent autour de notre héroïne sont toujours aussi nombreux. Comment faire pour survivre dans ce milieu où complots, trahisons et haine sont monnaie courante, quand on ne sait même pas à qui accorder sa confiance ? Qu’à cela ne tienne, Ameyal est bien décidée à s’échapper de ce lieu terrifiant pour retrouver sa liberté, ainsi que les siens. Déterminée, courageuse et pleine de ressources, pourra-t-elle surmonter les épreuves qui l’attendent ?
J’ai beaucoup aimé le personnage principal du récit. On ressent ses doutes, ses craintes, ses petites joies : rien n’échappe au lecteur qui se retrouve submergé par diverses émotions au fil de l’avancement de l’intrigue. L’intrigue, d’ailleurs, est bien ficelée. La plume de l’auteur, quant à elle, est fluide, légère, ce qui fait que nous entrons très vite dans l’histoire, pour n’en ressortir qu’à la fin tant on a été happés. L’univers Aztèque est incroyablement bien présenté, c’est détaillé, et même le vocabulaire est présent (un lexique est inscrit à la fin pour les termes que l’on ne comprendraient éventuellement pas). Il y a de l’action, des rebondissements, du rythme, on est envoûtés.. En conclusion, c‘est une lecture dépaysante qui a su me charmer de a à z et dans laquelle je replongerai volontiers quand j’aurai les tomes I et II dans ma bibliothèque.
Je tiens à remercier une nouvelle fois Eric Costa pour l’envoi de ce roman. J’ai pu découvrir une petite pépite et à présent, je n’ai qu’une hâte : lire la suite ! Et vous, qu’attendez-vous pour découvrir les aventures d’Ameyal ? »