L’Oeuvre est un projet qui me tient particulièrement à coeur, dans la mesure où je le partage avec mon ami d’enfance Jean Deruelle.
Le Condottiere, mercenaire italien du Moyen Age, d’après Léonard de Vinci.
Concept :
Cette histoire est inspirée d’une nouvelle que nous avions écrite il y a plus de dix ans, et en laquelle nous avons toujours vu une possibilité de thriller passionnant.
La majorité du roman se déroule dans une prison expérimentale secrète, recouverte d’un dôme en alliage quasi indestructible. L’édifice contient un grand nombre de salles qui se chevauchent, recelant une grande variété de paysages, qu’il s’agisse de forêt, de désert, de champ et bien d’autres choses encore.
Le but premier de l’Oeuvre était de tester un nouveau concept de prison sans gardien, fondé sur le modèle de la ferme pénitentiaire, où les détenus doivent s’organiser pour se nourrir et entretenir leurs habitats. Ils étaient filmés et surveillés par des gardiens extérieurs à l’édifice, chargés d’intervenir en cas de problème. En outre, un programme scientifique était mis en place : des médecins, psychologues et sociologues devaient étudier l’état psychologique des détenus et les rapports sociaux se mettant en place.
Mais un jour, les caméras furent coupées, et il ne fut plus possible de savoir ce qui se passait à l’intérieur. Des soldats y furent envoyés, dans le but d’exfiltrer les prisonniers… mais aucun ne ressortirent jamais de l’édifice.
Plusieurs années plus tard, au sein d’un groupe de mercenaires surentraînés, la jeune Elena a pour mission de s’introduire en secret dans l’Oeuvre, afin d’exfiltrer un homme sensé s’y trouver : Sharon Rhode.
Que va trouver la Condottiere des temps modernes en pénétrant dans la prison la plus secrète et la plus énigmatique de tous les temps ?