2050 : chronique de Florence Jouniaux

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 » Voici mon retour sur 2050 d’Eric Auteur, dont j’ai apprécié tous les romans. 498 pages de suspense !

Un excellent roman d’anticipation

Se basant sur la crise due au réchauffement climatique, l’auteur imagine notre terre coupée en 2 par le « mur de l’eau », une frontière de barbelés au sud de Lyon, où s’entassent des réfugiés voulant aller au Nord, protégé par un « stratoshield », qui atténue la chaleur et permet à ces nantis d’avoir des conditions de vie agréables, quand, au sud, les gens souffrent de la chaleur, ont soif et faim… Dans ce contexte catastrophique, nous allons suivre Frank, soldat au camp Charly, Eva Sandvik, une journaliste norvégienne qui n’a pas froid aux yeux et deux adolescents qui doivent fuir Barcelone et gagner le nord, avec une mission de la plus haute importance…

J’ai été happée dans cette intrigue : sa construction habile, qui alterne les chapitres sur ces 4 protagonistes, m’a tenue en haleine. Ensuite, je me suis attachée à eux, faisant miens leurs doutes, leurs craintes et leurs espoirs ; leur évolution est particulièrement intéressante. Enfin, le sujet lui-même, l’écologie, est traité de façon fort riche. L’auteur a créé un monde riche en inventions, où les nouvelles technologies, les IA, ont une importance capitale.

Lisez-le ! « 

Un grand merci à Florence Jouniaux pour cette chronique !

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2050

« Août 2050 : la température mondiale a grimpé de 3,1°C, les océans sont montés d’un mètre.

Face au Mur de l’Eau, Frank, garde-frontière, se prépare à affronter la plus imposante vague de migrants de l’histoire.
Juan et Rocio, contraints de fuir Barcelone après la disparition de leur père, entreprennent un périple à travers une Europe métamorphosée.
Aux îles Lofoten, Eva, jeune journaliste prometteuse, est brusquement rappelée par son mentor qui lui confie une mission cruciale : un reportage visant à influencer les élections imminentes.

Quatre destins bouleversés par un monde en mutation, où des forces obscures intriguent au mépris de tous les risques.
L’humanité est-elle à l’aube de l’irréversible ? »

Par l’auteur d’ « Aztèques », roman lauréat du Salon du Livre Paris 2017 par le jury Amazon KDP.

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